La vie d'un virus
Face à la folie collective qui me fait parfois penser que nous vivons dans un HP (hôtipal psychiatrique) à ciel ouvert, j'ai envie de partager cette réflexion de bon sens de René. Si cela vous interresse il a écrit toute une série de texte depuis mars 2020 sur le sujet, nous pouvons vous les faire parvenir.
LA VIE D'UN VIRUS
De l’avis des spécialistes « infectiologues », les virus prolifèrent le temps d’une saison, parfois un peu plus ; surtout quand du matin au soir on agite le spectre de la peur.
Dans un chapitre précédent, j’ai évoqué l’effet désastreux de la peur collective sur l’immunité… et dans bien d’autres domaines. C’est ainsi qu’avec la peur, toute une population peut devenir particulièrement docile et obéissante. Ainsi faisant, on crée un canal vibratoire (une fréquence particulière) dont les virus se servent comme autoroute pour se rendre là où le terrain leur est favorable.
Lorsque la fréquence vibratoire est trop élevée, le virus semble passer son chemin ou être complètement détruit. C’est ainsi que les ambiances euphoriques d’enthousiasme, même passager, ne semblent pas convenir au covid 19. Pour illustrer cette assertion, il y a eu de grands rassemblements dits à hauts risques autour des matchs de football sans que cela ne se soit soldé par des contaminations particulières (c’est le Professeur Raoult lui-même qui le dit)
Aujourd’hui, on teste à tour de bras, même les « bien portant » et forcement on trouve des anticorps et des tests positifs. Pour autant, à ce jour, les hôpitaux ne sont pas surchargés et la charge de réanimation diminue.
Que faut-il comprendre ?
Didier Raoult affirme qu’en fin de saison, le virus est beaucoup moins virulent sans pour autant pouvoir expliquer le phénomène.
Pour notre part, nous pensons que tout ce qui vit a un début, une croissance, une maturité, une décroissance et une fin… Et les virus n’échappent pas à cette réalité.
Ainsi il y aurait au début d’une épidémie, des bébés virus qui trépignent quand ils sont affamés. Durant toute leur « enfance », ils sont plein d’énergie et forcement très virulents. A l’adolescence, les virus qui ont proliféré circulent en bandes comme les jeunes, ce qui les rend aussi virulents de par leur nombre. C’est à l’âge adulte que le virus mute le plus comme vous, comme moi. C’est ainsi qu’on s’adapte à notre environnement. Quand quelqu’un a fait sept ou dix ans dans une même boite, et que cela ne convient plus, que fait-il ? Eh bien, il demande sa mutation ! Muter est un signe de maturité pour le virus. C’est pour mieux composer avec l’hôte sans le tuer (il n’y a aucun intérêt !). Par la suite l’énergie du virus va décliner comme la notre en vieillissant. C’est alors qu’il affectionne les clusters, ou il « se sent en famille », pourrait-on dire. Sa virulence diminue nettement d’autant plus qu’il a la sécurité de ses territoires.
Ceux de nos dirigeants qui ont un point de vue un peu obtus continuent à diffuser la peur, à affaiblir le système respiratoire par le port excessif du masque.
D’un autre coté, bon nombre d’entre nous commencent à réagir sortant des zones de peur pour retrouver une vie normale. Le virus sent sa fin venir et commence à connaitre une forme de peur.
Voilà, je vous ai raconté l’histoire d’un virus. Peu de gens me croient, mais cela m’est égal. C’est avec cette réalité que je vis et cela me convient parfaitement.
Ce qui est important c’est ce que ce virus est venu vous raconter à chacun et à chacune d’entre vous ; car c’est certain, dans cette histoire chacun a reçu un message qui lui est particulier, un message que son niveau de conscience peut comprendre… ou ne pas comprendre.
J’ai écrit ces textes afin que chacun puise mieux comprendre et se rapprocher de sa vérité ; et si la vérité de chacun se rapproche de celle des autres, nous pourrons bientôt parler d’UNITE.
René NICOLAS
Praticien en santé alternative et médecine chinoise - Acupuncteur
06 48 50 40 19
Moëlan sur mer le 20 septembre 2020